ce bel inconnu

Arrive sur l`antre des Chaos, quoi le chaos, m`ai-je trompée de place….

Regarde l`assemblé, euhhhhhhhhhh non, je suis bien au bon endroit.

Salut liânna de la main, et les autres que je connais.

Voilà mon histoire, le pourquoi je me retrouve ici, avec mes ennemis , Je me lance…

En ce beau jour de printemps, les fleurs commençais déjà à montrées leurs bout de nez, je me promenais a la recherche de ma prochaine victime, tuant du même coup quelques boules afin de mouvoir mes habilitée. Sur le route des montagne de Fatimas, un guerrier, fort, luisant et même impoli croisa mon regard. Ne sachant trop comment l`aborder je préférais ne rien dire seulement le remercier de son impolitesse.

Le lendemain, intriguée, je retourne près des montagnes afin de comprendre cet étranger, surpriseje le croise de nouveau, mais cet fois-ci, il était différent, repentissent de la vielle, la tête basse devant elle, ne sachant trop quoi lui dire ou encore quoi faire. Je ne pouvais le laisser ainsi, je lui relève la tête, ce n`est rien, tout ce que tu a dit ne me font point d`effet. Lui tendit la main et l`invita a prendre une marche avec elle, elle sentis quelque chose en-dedans d`elle, ne sachant trop quoi lui dire, elle préféra ne rien faire.

Les jours passèrent, il lui dit qu`il rêvait la nuit d`elle, l`attendais chaque instant. Je le pris par surprise quand je lui dit que j`éprouvais la même chose de lui.

Mais dans un désespoir inconnu, il avait donné son cœur à son impératrice, afin de le transformer en pierre, sachant très bien que son désespoir n`étais que passager, elle n`exécuta pas cette requête mais le déposa dans un endroit bien gardé de son royaume.

Je dépose un genou a terre, baisse la tête par signe de noblesse devant votre impératrice afin de récupérer le cœur de votre serviteur Thorr. Je ne suis qu`une rebelle vous me direz, mais je compte bien prendre soin de ce valeureux guerrier, cet homme qui a su me divertir et oser m`affronter du regard.

Bien a vous Ripley, fille du mal et du Démonium.

«Ce qui est difficile avec une fleur,c'est la façon de pouvoir la cultiver.

La nature est remplis de fleur, il y en a des plus belle, des moins belle, d'autre plus répendu et certaine unique...

Bien sûr, ce ne sont pas toutes les fleurs qui se laisse cueillir ainsi, facilement, simplement, non, c'est beaucoup plus complexe que cela. Mais lorsque cela arrive, lorsque ces rares fleurs s'éprenne d'une main, alors peu, voir rien aura la possibilité des arrêter. Même si le danger guette, que le poison se cache, même si la fleur, cette rose peut-être, a de longue épine, fine, cette main seule saura la cueillir, la prendre.

Le visage d'une femme est comme ses pétales, d'une douceur infinis, et les yeux de cette dernière le reflet de son âme, au plus profond d'elle même...»

Je suis un peu cette rose, cette fleur que peu peuvent comprendre. Cette rose qui à blessée tant d`homme mais qui demeure si fragile.

Oui, levez-vous, je n`est peur de vous. Ai-je été si dure?

]ai-je été aussi loin que vous

Je ne peux me permettre de juger , alors ne me jugé point.

Un seul connais et a la réponse: Thorr

Une seule personne peu le délivrer: Liânna

Moi je ne veutx que son bonheur et son amour

Découragée par l'affluence en ce jour, Liânna lasse de son rôle d'impératrice , allait gagner sa chambre , quand un bruit signifiant présence attira son attention. Ouvrant la porte...senti de suite cette effluve dédaignée. Cette ennemie avait du front , il fallait l'avouer. Non pas parce qu'elle se présentait seul en cet endroit et y baragouinait incompréhensible demande..enfin si un peu. Mais en plus elle semblait attendre s'imaginant réponse en rosée délicatement posée a ses lèvres Comme si elle Lianna du Chaos Impératrice directive mâchait ses mots!
Entrée dans la pièce , elle illumine lustres chandeliers et lanterne voulant voir en tout poins cette femme qui ne jure que sa mort et sa perte depuis belle lurette. aucune ombre ne résistant a ce traitement , voyant qu'elle l'aveugle , mais ,mets en valeur ce teint de pétales hybrides.

Que voulez -vous donc clairement Ripley?

Que je vous offre sur plateau d'argent le coeur d'un de mes plus valeureux et fidèle guerrier?
Et pour excuse que vous en avez besoin, que vous l'aimez?

Mais lui a-t-il seulement besoin de vous? Il vous faudra plus que ces paroles répétées en votre esprit pour me toucher. Et me prouvez que vous méritez cet homme , qui pour le moment est mien.Que je décide d'anéantir son coeur en lubie soudaine, et il n'est plus rien.

Se tient droite et dure dans le cadre de porte qui lui fait arrière plan noir, mettant en valeur sa silhouette impérieuse, toute de son vermillon kimono soulignée.

Alors que me proposez vous en échange?

Se lève;

Je vais me décrire afin que vous comprenez un peu qui je suis vraiment.

Ripley a un caractère complexe et hors du commun qui lui est propre.Tout d’abord, on peut la percevoir comme une jeune femme uniquement soucieuse d’être discrète et mystérieuse. En effet, elle a toujours été solitaire et se complaît à être seule. Elle ne se confie jamais, hormis aux personnes qu'elle affectionne tout particulièrement. Peu de gens ont entendu le son de sa voix, pourtant si calme et douce.
Des jours, elle peut être très souriante comme très sombre. Mais rare sont les fois où elle sourit à n'importe qui. Lorsqu'elle offre un rire à quelqu'un, il est obligatoirement sincère. Elle n'aime pas faire semblant, ce ne serait pas elle-même. Ma fois. C'est ce qui fait son caractère. Elle est un peu bizarre, froide au départ, mais très aimable avec les gens qui sont ses ami(e)s. Autrement, elle n'est pas influençable. Elle peut admirer certaines personnes, mais ne prendra jamais exemple sur elles. Elle a une vision de la vie qui n'est autre que la sienne et la fait évoluer petit à petit qu'elle découvre des choses, qu'elle apprend de ses erreurs.
Malgré le fait qu'elle ne parle pas beaucoup, elle pense énormément. Et oui, c'est une penseuse. Elle aime se poser des questions sur les gens qui l'entourent, sur le monde, sur elle-même et encore plein de petites choses parfois complètement inutiles. Pourtant, elle pense quand même. Elle est souvent perdue dans ses pensées, d'ailleurs. C'est quelques fois dérangeant lors d'une conversation, mais elle n'y peut rien. C'est une grande penseuse, mais pas une grande parleuse! Quoique. Lorsqu'elle doit dire quelque chose d'important, du genre une déclaration, des excuses ou autres, elle sait trouver les mots exacts et s'avère à souvent faire un long discours à la personne concernée. Elle est très touchante lorsqu'elle dit toutes ces phrases. C'est une romantique, dans l'âme. Elle n'en veut à personne et n'est pas du tout méchante, elle est juste méfiante et ne dévoile pas forcement sa vie aux premiers venus.

Voilà ….

Tu me demande ce que je te donne en retour: je ne paie pas pour un cœur abandonné, seul. Je peut vous donnez ma gratitude et mon respect, sinon je ne sait ce que je pourrais vous donnez de plus. Je peux vous promette de prendre soin de se grand et valeureux chevalier, je peux faire serment de mon amour envers lui.

Mais je vous le dit, si je possède quelque chose qui vous ferais plaisir, et bien alors, nous pourrions en discuter avec un verre de vin.

Marche lentement telle une tigresse énervée mais patiente autour de la guerrière. Elle réfléchit sans peine, les rouages huilés juste à la pensée de Thorr. Elle apprécie que les dernières paroles soient plus claires dans leur message. Fait signe au larbin de service toujours en attente dans un coin sombre. Et celui-ci revient avec nappe de lin blanc et coupes de cristal, un carafon ayant respiré.

Et bien ...Ripley, si ainsi je peux vous appeler.
Ca me semble ...peu. Pour entrer ici les gens doivent passer une épreuve souvent...Et déjà ca me semble peu pour leur permettre le luxe de savoir...qu'on ne les battra plus, sauf en cas de profond désaccord ou de nécessité bien-sûr. Enfin ce n'est pas la le sujet que je veux aborder avec vous..,

Vous me demander bien plus précieux qu'une place au chaos. Mais le cœur d'un chaos, qui disons le franchement me rebute à vous tendre. Vous êtes mon ennemie, vous clamez haut et fort notre mise à mort devant tous. Et vous voulez que je vous donne, avec...confiance le cœur de l'un d'eux. Vous comprendrez surement que j'y vois un non sens. Vous voulez nous tuer a longueur de vie, et soudainement le cœur d'un des miens dans les mains vous lui feriez attention?

Fait signe à l'esclave de servir les coupes, et vient s'assoir attendant qu'il lui tire la chaise.

Voilà donc ce que je propose, pour que vous me prouviez votre intérêt pour ce grand freluquet , qui choisit étrangement ses compagnes. Vus devrez me donner un texte de 2 minutes, expliquant comment vous y tues 7 mouches dans les détails, y usant des mots suivants: tournevis, polymorphe, auto-flagellation, vilebrequin et barouette... vous viendrez nous présenter le résultat d'ici une semaine a partir de mes paroles. Et je présenterai au chaos afin de savoir si vous montrez à leurs yeux signe de détermination et de sentiments vrais pour notre Thorr, qui est un peu un chouchou.

Boit une grande gorgée tranquille, fixant ses yeux sans faillir.

Et non, je n'ai pas l'intention de rendre ce gage...négociable.

Laissez moi vous guider dans une autre contré, peut-être pas si loin que votre esprit pourrait pensé se diriger. Enfin, l'aspect extérieur à tout cela, les vagues de la mer, le bruit calme de celles-ci, alors que les oiseaux eux chantent le soleil levant, n'a que très peu d'importance pour vous, pour nous, mais pas pour ripley, dans la maison près de cette mer. Bref, ce calme perpétuel fait partie de sa vie qui pour rien au monde voudrait que quelqu'un ou quelque chose gâche cette vie.

Comme toutes les histoires, il y a un évènement qui renverse cette situation plutôt calme que l'on pourrait jugé comme parfaite. C'est le but de toute histoire, raconté un évènement qui n'est pas ce calme plat, doux, où seul la beauté du paysage réussit à nous chercher. Bref, c'était le matin, le vent apportait à travers les fenêtres ouvertes de la maison un vent frais et salée provenant de cette mer qui n'était nullement agité. Ripley comme à son habitude se leva, marchant lentement vers sa cuisine, allumant le feu du four pour y faire bouillir de l'eau, l'eau de son thé matinal. Le soleil lui tentait de conquérir le ciel, donnant à cette dernière de vague couleur rosé ou orangé, dépendant du moment de sa croissance.

Mais alors qu'elle prenait place à sa table, déposant une petite tasse ainsi que quelques herbes, une chose vint la déranger, quelque chose qui ne devait pas être. Une mouche, sur sa table, alors que nul n'avait osé jusqu'à ce jour mettre le pied. Oh, elle en avait vue à l'extérieur, se pavaner parfois près de la mer, pour un vieux morceau de poisson oublié par un autre de ces stupides oiseaux, mais jamais il en avait vue venir ainsi, se prélader devant-elle, les ailes biens monté, nettoyant frénétiquement de ses pattes son visage. Elle n'allait pas rester ainsi, à regarder l'insecte répugnant parcourir sa table sans gêne, au non! Dans un mouvement bref et rapide, elle attrapa la mouche et se leva pour ainsi la jeté dehors, par la fenêtre. Elle avait ainsi sa leçon!

Mais bon, elle avait cru, mais la foi n'a en rien changé quoi que ce soit. Par contre, ce n'est pas une mouche, cette même mouche, qui revint en attaque, mais bien sept. Elle était retourner s'assoir, pour déposer dans sa tasse quelques herbes avant que l'eau ne bouille, que Ripley avait vue une mouche, puis une autre, et ce jusqu'au total de sept décidé d'entrer par la fenêtre de sa maison et ainsi décidé de parcourir au vol diverse pièce. Que diable fesaient-elles là!? C'était comme si une puissance polymorphe avait décidé de jouer contre elle son état paisible. Se levant, elle du changer ses habitudes pour pouvoir héradiquer les créatures malsaines.

Retirant du feu la bouilloir, pour évité ainsi de l'excité alors que l'heure du thé devait être reporté, elle se résigna à aller dans le couloir, renversant sur le chemin le vilbrequin qu'elle utilisait normalement pour faire de la menuiserie. C'était comme si tout se mettait dans son chemin, comme si la terre tentait de luter contre ses habitudes, contre elle! Ah non, ces mouches n'allaient certainement pas s'en sortir ainsi, elle prit quelques feuilles étaler sur un bureau du couloir et en fit un instrument cylindrique, ce qu'il y a de mieux pour tuer des mouches si aucun outil n'est à disposition. Et, peut-être pour mieux la berner, une mouche décida d'aller se poser sur son nez. «Ah, ah! Belle erreur ma petite!», c'était-elle exclamé. Un simple «Bzz» lui répondit alors que les pattes arrières de l'insecte repassaient sur ses ailes. Il approcha sa main libre et, d'un geste vif, tenta d'attraper la mouche qui elle, s'envola sans se préoccuper du danger, sans se faire attraper, comme si son monde était tout autre que le sien. Frustrée, maudissant ce satané insecte, cette chârogne de la vie, elle tenta de donner un coup de machette-en-papier sur la mouche, mais en vain.

La sueur perlait sur son front, le matin lui prenait ampleur alors que son malheur s'éveillait, lentement, dans un silence étrange, désagréable pour notre pauvre femme. Cette dernière, furax, se dirigea vers le salon où elle retrouva, perché sur un tournevis, deux des mouches qui attendait, sagement, leur mort, du moins, c'est ce que pensait l'être. Elle avança en silence, certaine de ne pas être remarquée, alors que même son ombre s'était cachée, pour ainsi levée le bras, dans l'attente du coup qui éliminerait deux des indésirables. «Adieu, être perfide», clama-t-elle en silence alors qu'elle descendait son bras, et donc l'instrument destiné à les tuer, vers les mouches. Oh, sous le coup, le tournevis sembla prendre vie et s'envoler dans les airs tellement la violence était dans le coup, mais au plus grand des malheurs, les deux mouches étaient déjà envolé, ne manquant pas d'aller frotter leur corps près de celui de ripley qui rageait de plus en plus, lançant de vile parole aux bestioles. Le tournevis termina sa chute sur le pied de la femme qui poussa un cri de douleur sous le coup violent, comme si le coup qu'il avait porté avait été seulement de l'auto-flagellation. Seul elle souffrait, elle en pleurait presque, mouche, mouche, saleté de mouche, «À MORT!?!».

Nul n'aurait pu se douter de la suite. La blessure à son pied handicapait à peine, elle se mit à courir dans la maisonnée pour tenter d'abattre les mouches, sans pour autant réussir. Chaque coup qu'elle portait devenait de plus en plus violent, ses cheveux roux devenait humide, tout comme sa peau, mais elle continuait, criant, s'animant avec violence. Et puis, lorsqu'une des mouches décida de fuir vers l'extérieur, elle décida de sortir, pour ainsi régler le compte d'une des sept à l'extérieur. Elle ne se doutait réellement pas, elle-même, de cette suite. Les six autres mouches s'étaient déposées sur le bord de la fenêtre ouverte, comme si elle tenait à assister au spectacle; «La femme contre la mouche!». Elle courant en tout sens alors que l'insecte la narguait sans cesse, volant d'un endroit à l'autre, essoufflant sa «victime». Un dernier coup, le dernier qu'elle aurait pu porter, la fatigue tentait de prendre le dessus sur son corps. La mouche prit un virage sec sur la gauche, et lui porta un coup d'une vitesse et d'une violence inouïe. La mouche fut frapper de plein fouet, mais elle tomba inévitablement, n'ayant pas su garder l'équilibre. Le résultat fut qu`elle tomba tête première sur la barouette qu'elle laissait trainer à l'extérieur, près de la fenêtre. Sous les yeux multi-facettes des six autres mouche, Ripley se cassa le cou puis mourut, peu après.

L'on raconte que la dernière mouche aurait survécut au coup, comme quoi il faut écraser la mouche, non la frapper, ou la laisser partir, car rien de pire qu'une mouche, mais en venir là pour de simple mouche, ...

Il n'en tient qu'à vous d'en retirer une leçon, j'ai fait ce que l'on m'a demandé, j'ai raconté ce qui devait être, à vous de méditer sur le sujet à présent...

Écoutant , magnanime , enfin presque , pensant un peu à Mel, attentive , elle est agréablement surprise.
Tous les mots y sont , le contexte respecté. La voilà bien prise , elle espérait une faille , oui les mouches ne sont pas mortes, mais qu'importe , la chasse fut jolie. Et l'application assidue pour contenter avec brio le défi.

Voilà qui confirme qu'elle tient vraiment à lui , hors de tout doute. Et elle Sait que Thorr lui en voudrait , de lui refuser ce grand privilège, non pas qu'elle ne puisse vivre en cet état, loin de là. Enfin, ses rouages s'échauffent et elle ne trouve pas d'autre condition que d'accepter de faire le précieux don.

Très bien, me voila perdante, et ce n'est pas de gaité de cœur que je vous offre ce que vous avez prouvé, mériter. Cependant j'aimerais que vous y pensiez bien avant que je ne vous le donne...je veux que vous le rapportiez intact ici, si un jour vous n'en voulez plus. J'apprécie ce guerrier loyal et solide.Et le remettre à une ennemie m'horripile. Mais j'ai perdu cette manche , une fois n'est pas coutume. Et je suis sérieuse , dans cette même salle , sous peine que j'engage alors, des assassins en plus pour vous poursuivre!

Une étrange cassette fumante de froid arrive dans des volutes sensuelement jouant avec les vents. Voguant dans les airs sous une lumière bleutée , a la hauteur de ses mains. Elle murmure une incantation , qu'elle a du chercher un long moment dans ses grimoires...les mains étendues au dessus du coffret qu'elle a ouvert. Fermant les yeux , soudainement une flamme jaune apparait et une fumée noirâtre se disperse vers Ripley...semblant s,incrusté en son torse... Le coffret tombe a terre, Liânna tremble , perceptiblement , cherchant souffle et énergie pour lui dire de partir.... qu'elle a ce qu'elle voulait. Use de tout sa volonté pour rester debout sur ses jambes flageolantes ...cherche à stabiliser son pouls excessif. Respire lentement , sous contrôle.

Et bien

La regarde, prunelle ou un éclair de haine passe un bref instant , non seulement elle lui prend Thorr d'une certaine façon , en plus, elle la voit faible.

Voila que vous avez ce que vous vouliez!
Vous pouvez quitter.

Regarde ce spectacle devant elle,

L`envie d`enfoncer mon épée dans son corps me traverse l`esprit, mais je ne suis pas celle que vous croyez, aide cette douce femme a s`assoir.

Je la regarde un instant.

Son coeur est a moi, je vous remercie de tout mon coeur, mais je ne viendrais jamais le remettre ici, notre amour est éternel. Vos assassins sont déjà sur ma route, et je les pourchasse aussi, et qui sait, un jour je porterais peut-être votre bannière, mais rien n`est encore faits, j`aime mon clan et j`es suis fière.

Dépose un genou par terre en signe de noblesse, faits demi-tour, et laisse cette femme fragile sur la chaise reprendre ses esprits.

faites attention ,reprenez vite vos esprits et j`ai adorée discuter avec vous

Supporte à peine de recevoir son aide , mais use quand même de ses énergies, faisant signe au grouillot de bouger de suite et venir l'aider. Plus vite elle retrouvera les siennes, plus vite elle sera elle-même.
La regarde partir, cœur encore fou d'effort..se jurant qu'elle lui fera mâcher ses mots si elle ment.
Faire partie des siens...Frisson...
Ferme les yeux...
Thorr...
tord...
tort.