Alors que je somnolait paisiblement devant la porte de notre Antre, une odeur de mort se présenta à mon fin nez. Quelques secondes plus tard, Sao passa en trombe, monté sur son fidèle poney. Quelques jours plus tôt, je l'avais entendu parler d'une visite à la Cité Blanche du Haut Conseil. Je sorti donc lentement de mon doux sommeil, avant de le suivre... J'avais entendu dire qu'Aragor les avait rejoins, et je voulais en connaitre la raison !
C'est alors caché de la vue de tous que je l'observais. Nous nous trouvions à présent devant les rempart de cette forteresse... blanche, comme son nom l'indique. Personne ne semblait vouloir répondre aux demandes de Sao, jusqu'à ce qu'une appétissante jeune fille se présente à lui. Je ne compris pas trop pourquoi, mais il lui arracha l'oreille... Boah ! C'est Sao quoi...
Cette jeune fille... C'était celle dont Sognade m'avait parlé, Colimero. C'est ce moment que je choisi pour sortir des Ombres m'enveloppant. Lui révélant que je connaissais son identité qu'elle s'obstinait pourtant à cacher à mon compagnon de route.
C'est à partir de ce moment que tous les membres de ce pseudo-conseil se présentèrent devant nous, à croire qu'ils pensaient que la demoiselle ne pouvait pas se défendre seule.
D'abord il y eu Kratos qui nous lâcha quelques mots puis resta muet à l'arrivée d'Aragor. Ce dernier, lui, fit encore mieux. Il nous menaca de nous tuer si nous ne partions pas immédiatement, puis il parti, ce que nous ne fîmes pas bien entendu. Ensuite il y eu Macros qui me lança un défi que je ne pu refuser bien entendu... Je le gagnais haut la main. J'allais alors repartir avec mon fier butin pour Liânna, le corps de cet homme presque en parfait état, si ce n'était la longue entaille sur son poitrail, mais la jeune fille nous interpella !
Elle voulait prendre la place du perdant, en tant qu'esclave... Je ne pouvais refuser cette offre plus qu'allèchante. Mais voilà que d'autres comiques firent leur apparition. Goku, essayant de retenir l'esclave, deja envoutée par moi et mon compère... Puis Soras, qui tenta futilement de nous arrêter.
C'est après plusieurs minutes de conversations inutiles que nous repartirent, les bras chargés de ce fardeau, beaucoup plus agréable que le premier, il faut bien l'admettre ! Mais je n'étais toujours pas avancé sur la raison d'Aragor de quitter les Libertyas...